Langage des formes INSPIRATION

La Bivouac de 1962 était la première montre-bracelet mécanique munie d’un baromètre anéroïde pour la mesure d’altitude et de pression atmosphérique.

Trois ans après la présentation de la première montre de plongée réalisée dans ses propres ateliers, Favre-Leuba lance la Deep Blue étanche jusqu’à 200 mètres de profondeur.

En 1968, Favre-Leuba lançait la Bathy, la première montre-bracelet mécanique au monde qui indiquait non seulement le temps de plongée, mais aussi la profondeur.

Avec le design unique de sa boîte en forme de coussin, la Sea Sky célèbre parfaitement le passage aux années 1970.

La lunette n’est pas simplement ronde. Il s’agit d’un polygone à quatorze côtés, finement traité. Peut-être un petit détail. Mais un détail qui contribue grandement au caractère technique des montres de Favre-Leuba.

Rond ou en forme de coussin : les boîtes se distinguent par leurs lignes claires. Comme les célèbres modèles Favre-Leuba des années 1960 et 1970. Pas enjoués ni compliqués, mais expressifs. Sur le flanc de la boîte, un arc s’étire tel un pont d’un corne à l’autre.

Elles sont marquantes et uniques. Facilement lisibles dans toutes les situations. Même dans la pénombre. Comme il se doit pour une montre de Favre-Leuba.

Les index ne passent pas non plus inaperçus. Dans le cadran aux lignes minimalistes, ils donnent le ton. Ils constituent une affirmation claire. De format généreux. Carrés. Appliqués de manière sophistiquée. À la fois caractéristiques et fonctionnels.

Combinée à la lunette tournante bidirectionnelle disposant d’une échelle dont chaque division correspond à 50 mètres, l’aiguille centrale rouge affiche en un tour des dénivellations pouvant aller jusqu’à 3000 mètres. À 3000 mètres d’altitude, la petite aiguille également rouge du cadran à 3 heures continue de tourner jusqu’à atteindre les 9000 mètres d’altitude lorsque l’aiguille centrale a fait trois tours.

La Bivouac 9000 indique en outre avec précision les éventuels changements de pression à une même altitude. L’aiguille des hectopascals, également intégrée à 3 heures dans le cadran et allant de 1013 à 300 hPa, affiche la pression atmosphérique réelle.

L’altimètre et le baromètre sont complétés par un affichage de la réserve de marche à 12 heures, qui rappelle après environ 65 heures de marche que la montre doit être remontée manuellement. Le mécanisme qui se cache derrière cet affichage a été conçu avec une telle ingéniosité qu’il accomplit sa mission complexe avec un nombre de composants le plus restreint possible. Résultat : une fiabilité nettement accrue.

La Raider Bathy 120 MemoDepth, étanche jusqu’à 200 mètres, peut indiquer une profondeur de plongée allant jusqu’à 120 mètres. Cette mesure est réalisée au moyen d’une technique simple mais peu conventionnelle. Elle permet à l’eau d’entrer dans une chambre spéciale à travers les perforations présentes dans le fond du boîtier. Cette chambre est bordée d’une membrane de cuivre et séparée hermétiquement du mouvement, protégeant ainsi la montre tout en mesurant une information vitale et nécessaire pendant la plongée. 

Sous l’action de la pression de l’eau grandissante dans la chambre, la membrane de cuivre se déforme temporairement : cette information est enregistrée par un capteur de contact mécanique, puis transmise aux aiguilles bleues indiquant la profondeur sur le cadran. La pression en temps réel, jusqu’à 120 mètres, est indiquée à l’aide de l’aiguille centrale bleue et d’une échelle linéaire sur le bord extérieur du cadran. Une échelle plus précise permet une lecture affinée pendant les 30 premiers mètres de profondeur. Deux zones rouges entre 3 et 6 m et entre 9 et 12 m, visibles sur le bord extérieur du cadran, indiquent également les paliers de décompression les plus importants à respecter pendant la remontée.

La Raider Bathy 120 MemoDepth dispose également d’une fonction mémoire. Le cadran auxiliaire, à 3 heures, indique la profondeur maximale atteinte pendant une session de plongée. Alors que le plongeur descend et que la profondeur augmente, l’aiguille centrale et la petite aiguille bleue avancent dans le sens horaire pour indiquer la profondeur en temps réel. Un engrenage mécanique garantit que l’aiguille du cadran auxiliaire s’arrête lorsqu’elle indique la profondeur maximale atteinte afin que cette information puisse être lue en toute confiance sur une échelle graduée. À l’inverse, pendant la remontée, l’aiguille centrale bleue tourne dans le sens antihoraire en indiquant à n'importe quel moment la profondeur en temps réel. Une fois que le plongeur est revenu à la surface et qu’il a lu la profondeur maximale sur le cadran auxiliaire, il peut remettre le compteur à zéro en appuyant sur un bouton poussoir vissé.